la rédemption du corps, mais le fait d’en être délivré. Ainsi, puisque le corps est incurablement mauvais, ce qu’on fait avec n’a pas d’importance. On peut en satisfaire les désirs ; on peut être glouton, ivrogne, homosexuel ou adultère. Les hérétiques enseignaient que toutes ces choses étaient sans conséquence, étant donné qu’elles n’affectaient que le corps, et non l’esprit. Les judaïsants ajoutaient à l’Évangile ; les faux enseignants non-juifs en retranchaient. Ce même esprit de libertinage antinomien
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